La journaliste du Parisien, Virginie Wéber, a assisté à un atelier Brain Ball proposé par l’ALS d’Élancourt et animé par Nathalie DUGAIL. Il en ressort une belle découverte et un article ponctué de témoignages et d’anecdotes.
Morceaux choisis…
🔹« On a des gens d’âges et de niveaux très différents dans le groupe mais tout ça ne se voit pas », rassure l’animatrice. « Il n’y a pas du tout de compétition ni de jugement de la part des autres, on souhaite que l’autre réussisse autant que nous », ajoute Alain.
🔹« On rigole beaucoup, le groupe est sympa et c’est ludique mais, en même temps, on s’aperçoit qu’on a une meilleure synchronisation et une meilleure maîtrise gestuelle », sourient Bernard et Brigitte.
🔹ATSEM (agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles) à Élancourt, Valérie estime, elle, que « le Brain Ball, c’est la récréation sous contrôle ». Pourtant, certains enchaînements sont loin d’être évidents.
🔹Adepte de marche nordique et de randonnée, Sylvie, 47 ans, voit le cours du mercredi soir comme l’occasion de profiter d’un « moment convivial ». « Il y a une très bonne ambiance mais, en même temps, on a vraiment l’impression d’entretenir notre cerveau. » Et il ne faut pas se méprendre de l’ambiance bon enfant, le cours de Brain Ball, c’est du sérieux.
« C’est hyper apaisant parce qu’on est dans le moment présent mais, d’un autre côté, on est fatigué parce que ça demande une concentration intense », souffle Alain, 74 ans, qui participe à la séance de Brain Ball. LP/V.W.
Merci au Parisien pour cet article, à Nathalie Dugail pour son enthousiasme et à l’ALS Élancourt qui proposera de nouveaux créneaux à la rentrée.
Article à retrouver dans son intégralité sur le site du Parisien:
« Pourquoi le Brain Ball séduit de plus en plus dans les Yvelines » par Virginie Wéber