Développer les Soft Skills des étudiants grâce au Brain Ball

Quel est l’ADN de l’Année Lumière ?

Fondée à Lyon il y a 5 ans, l’école l’Année Lumière se destine spécifiquement aux jeunes âgés de 16 à 25 ans. Son approche novatrice vise à accompagner ces jeunes dans la construction de leur projet professionnel. L’accent est mis sur la valorisation de chaque individu à travers la découverte de ses compétences propres. L’axe fondamental repose sur une pédagogie active où chacun est en action et en phase d’expérimentation.

En proposant le Brain Ball aux élèves, l’équipe pédagogique avait pour objectif d’améliorer leur capacité de concentration et de cultiver leurs aptitudes interpersonnelles afin de répondre efficacement aux exigences du monde professionnel.

C’est ainsi que des ateliers Brain Ball, animés par Cécile Thiry, ont été intégrés au parcours des étudiants.

Pourquoi développer les Soft Skills des étudiants ?

Les soft skills, également connues sous le nom de compétences transversales, sont des compétences non techniques qui sont de plus en plus valorisées dans le monde professionnel. Concentrons-nous spécifiquement sur les domaines qui bénéficient d’une amélioration grâce à la pratique du Brain Ball :

• Le travail en équipe : la collaboration, la résolution de conflits et le leadership, sont nécessaires pour mener à bien un travail collectif.

• La gestion du temps et l’organisation : Travailler ou étudier exige la gestion de tâches multiples. Les soft skills telles que la planification, la priorisation des tâches et la gestion du stress, sont donc essentielles pour réussir dans ce contexte.

• L’adaptabilité : Les soft skills telles que l’adaptabilité, la résilience et la capacité à faire face à l’incertitude sont importantes dans un environnement en constante évolution. Les étudiants doivent donc être capables de s’adapter aux changements. Ils doivent pouvoir surmonter les obstacles et rebondir après les échecs pour réussir dans leurs études.

• L’intelligence émotionnelle : Comprendre et gérer ses propres émotions, ainsi que celles des autres, est également important dans le contexte universitaire. Les soft skills liées à l’intelligence émotionnelle, telles que l’empathie, la gestion des conflits et la capacité à travailler sous pression, sont essentielles pour maintenir des relations positives.

Le Brain Ball, un tremplin pour développer les Soft Skills des étudiants

Les retours des étudiants sur les ateliers Brain Ball sont unanimes. Ils soulignent l‘impact positif sur la dynamique de groupe, la capacité d’adaptation les uns aux autres. Il en découle le renforcement de la confiance en soi et envers les autres. Ils ont ainsi pu développer un certain nombre de soft skills.

Les étudiants de l’Année Lumière, ont vécu les séances Brain Ball comme une expérience enrichissante de collaboration et d’ajustement mutuel. Ils en ont trouvé une application concrète à l’occasion de leur projet de mini-entreprise au sein de l’école. Ils ont pu mettre en pratique les compétences acquises pour atteindre leurs objectifs de manière plus efficace.

Une plongée dans l’instant présent pour une concentration optimale

Outre ses bienfaits sur le plan relationnel, le Brain Ball permet également d’apprendre à se concentrer sur le long terme.
Lors des ateliers, les étudiants apprennent à mettre de côté les pensées parasites pour se centrer exclusivement sur l’expérience vécue.

Les étudiants ont par ailleurs exploré de manière ludique la notion de rythme. Ils ont apprécié l’effet déstressant et relaxant du métronome, les aidant à se libérer mentalement et à se concentrer pleinement sur le moment présent. En somme, pratiquer le Brain Ball, c’est être totalement immergé dans l’action…

Le Brain Ball, une expérience collective qui renforce les Soft Skills

Valérie Dunod-Malka met en lumière les résultats obtenus après seulement quelques séances de Brain Ball. Elle constate que des liens solides se sont formés à l’occasion de l’activité.

Elle remarque également qu’en pratiquant le Brain Ball, “on progresse et on réussit ensemble“. Aucun participant n’est laissé de côté : le groupe travaille de concert vers un objectif commun, parvenant à l’accomplir malgré la diversité des participants. Le Brain Ball favorise ainsi la flexibilité relationnelle.

Pour les étudiants, cette expérience offre une perspective positive sur les relations professionnelles. Elle contribue en effet à dédramatiser le travail en groupe avec de nouvelles personnes. Quel que soit le poste ou la fonction des participants, tous se retrouvent autour d’un langage commun : le rythme.

Valérie Dunod-Malak poursuit en observant que la synchronisation devient possible grâce au soutien du groupe, ce qui génère instantanément un sentiment de confiance, de fierté collective et de lien de qualité.

Valérie conclue par ces mots : “le Brain Ball est une expérience bluffante !“